sommaire n° 41 – octobre 2016
POURQUOI SOIGNER L’OBJET DES MAILS ET LES ACCROCHES ?
LA PRISE EN COMPTE DE LA TEMPORALITÉ :
UN VRAI DEFI POUR LES MARQUES
ATTITUDES VIS-A-VIS DE L’EMAILING : OU EN EST-ON ?
LA PERFORMANCE CACHÉE DES MAILS
Il existe 2 indicateurs de mesure de la performance des campagnes de emailing ou des newsletters : le taux de délivrabilité et le taux d’ouverture.
Il reste une zone grise, que l’on n’appréhende pas, mais qui est partie prenante de l’efficacité : l’exposition dans le webmail. En effet, l’objet du mail ainsi qu’un aperçu sont, selon les applications de messagerie, partiellement visibles. On peut assimiler cette notion à la délivrabilité, mais il y a un biais.
C’est une bonne raison pour soigner l’objet, l’expéditeur et le début de tout mail ou newsletter.
Nous vous donnons les bons conseils pour y parvenir.
LE TEMPS DE LA COMMUNICATION : UN ENJEU DE PROXIMITÉ MAJEUR
Le thème principal des dernières journées de l’UDECAM portait sur la prise en compte comportementale de la temporalité (reportage vidéo ici et là) :
A quel moment une marque doit-elle interagir avec son écosystème ?
Quelle disponibilité et quels délais de réponse sur les réseaux sociaux ?
Comment s’organiser en fonction des comportements ?
Que dire et comment le dire ?
Ceci est particulièrement important en BtoB et en communication interne.
Il convient de régler ces questions en amont, dans le cadre d’une réflexion sur la cible, son attitude et son comportement. Pour cela, la méthode des personas est un outil efficace.
En production, une véritable conférence de rédaction est obligatoire pour s’adapter au rythme de l’actualité.
AUTOUR DU CONTENU, UNE SÉLECTION D’ARTICLES PUBLIES EN SEPTEMBRE
Nous attirons votre attention sur les résultats de toute une série d’études sur le mail, pointant son efficacité. Et toujours des conseils pour produire des contenus performants et contributifs.
Bonne lecture, et à bientôt pour de nouvelles aventures.
PROFITER DE L’EXPOSITION :
OPTIMISER LES EMAILS ET LES NEWSLETTERS
Pour profiter de l’exposition des mails dans le webmail mais aussi favoriser l’ouverture, on a quatre leviers. Deux-trois bonnes pratiques vont grandement en améliorer la performance.
L’EXPÉDITEUR
- à bannir : l’adresse type contact@ ou acronyme@
- personnaliser l’expéditeur pour rassurer (cf. call centers) : un mail c’est toujours du one to one
LE DESTINATAIRE
- son nom ou son adresse
- attention, pas de destinataires en Cc ni avec l’adresse de l’expéditeur mais le nom du destinataire ou son adresse
L’OBJET
- court : 5-7 mots, avec un artifice graphique comme un picto, une image ou un logo (ne pas en abuser)
- sur la forme d’une accroche / titre, avec une promesse et/ou incitation
- avec le nom de la marque s’il n’est pas dans l’expéditeur : image et mémorisation (top of mind
LE DÉBUT DU MESSAGE
- un texte introductif qui, à l’instar du chapô en presse, résume le contenu du mail
- contient les éléments de forme comme le ton, le vocabulaire (mots clés)…
- il peut être très visuel : photo, typo, illustration…
Billets, études, bests practices…
- Étude comScore sur l’usage des applications mobiles en 2016
- La perception de l’emailing par les internautes en France
- Établir une stratégie d’emailing adaptée aux enjeux
- Pourquoi le brandcontent explose dans les médias
- L’équivalent de 99 jours par an passés devant ses emails selon Adobe
- Instagram et Snapshat : des réseaux qui de plus en plus utilisés par les jeunes mais qui séduisent aussi les seniors
- Fiches produits : leur impact est prouvé sur la conversion
- 10 astuces pour rédiger clairement sut le web
- Réseaux sociaux et entreprise : comment d »développer sa présence
- Les 6 principes universels d’influence
- Les 5 principaux objectifs du content marketing