newsletter 53 | novembre 2017
influenceurs et ambassadeurs : mythe et réalité
les résultats de
l’Observatoire du Contenu Digital 2017
Facebookeurs, Twitteurs, Blogueurs, Youtubeurs, Snapchateurs, Instagrameurs… Ces acteurs des réseaux sociaux sont devenus incontournables.
Et il est urgent de connaître ceux qui sont les plus actifs dans votre secteur d’activité, quel qu’il soit. Car une communication performante passe désormais en grande partie par eux.
UN BON INFLUENCEUR, C’EST QUOI ? OU PLUTÔT, C’EST QUI ?
L’audience de son support d’expression est bien évidemment un facteur important, mais attention : la qualité des contenus qu’il produit aussi. Mieux vaut pour vous ne pas être associé à un blog truffé de mauvaises informations (voire de fautes d’orthographe), même s’il réunit un nombre important de clients potentiels.
POURQUOI SE RAPPROCHER D’UN INFLUENCEUR ?
Les médias traditionnels ont un impact moins fort qu’auparavant et parallèlement, il est de plus en plus difficile de décliner des campagnes sur les réseaux sociaux, qui favorisent tous aujourd’hui une forme de « native advertising » moins agressive, mais plus délicate à manier.
COMMENT LES IDENTIFIER ET LES APPROCHER ?
L’approche directe nécessite une très bonne connaissance des réseaux et de ses pratiques. D’autant que le paysage change à grande vitesse. Certaines très grandes entreprises y consacrent de gros moyens en budget et en équipes. Pour les structures de moindre taille, il existe désormais des plateformes de mise en relation, capables non seulement de dresser un mapping des influenceurs de votre univers professionnel, mais également de gérer tous les rapports avec eux (y compris financier), tout en étant capable d’en mesurer directement les effets (Klout, Woo, BrandYouLike…).
Une bonne influence peut parfois se cacher là où on ne l’attend pas.
Un de nos clients nous a raconté il y a quelques mois une expérience inattendue concernant les influenceurs.
Cet éditeur de livres scientifiques cherchait à toucher les étudiants en médecine, cible privilégiée de l’un de ses nouveaux ouvrages. Après avoir testé de nombreuses plateformes, sites et réseaux sociaux, ses meilleurs retours ont été obtenus sur la page Facebook… D’une célèbre marque de bière ! à méditer…
Si le contenu sous forme de texte est associé majoritairement à la production de messages, la vidéo est de plus en plus utilisée, sur les sites, mais aussi sur les réseaux sociaux et les intranets. C’est une tendance lourde que l’on observe depuis 2-3 ans.
Le contenu au service de l’engagement et de l’image avant d’être directement contributif.
Le contenu est intégré dans les stratégies digitales avec des objectifs précis, souvent mesurés, comme l’engagement (51,2%) et l’image (12,2%) via le brand content.
Les collaborateurs sont de plus en plus sollicités pour produire des contenus,
les contenus « à valeur ajoutée » étant produits par des professionnels.
La multiplication des opportunités d’exposer de l’information (supports et médias) et la prise de conscience de l’importance du contenu, nécessitent des ressources. Elles sont trouvées en interne. Simultanément, il est fait appel à des prestataires externes pour un contenu à forte valeur ajoutée.
Des budgets en hausse en 2018 sur un contenu qualitatif à valeur ajoutée (blogs, newsletters,
réseaux sociaux professionnels) et plus chers à produire (vidéo, expertise)
Cette augmentation cache deux tendances : à la baisse avec l’internalisation d’une partie de la production (les coûts sont imputés aux budgets RH), à la hausse avec un besoin de contenus qualitatifs pour se démarquer et plus coûteux à produire (texte vs vidéo).
Présentation des résultats de l’Observatoire du Contenu Digital 2017.
Revue de liens
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Comment maintenir la confiance dans un monde digital (étude Kanar TNS Connected Life)
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