dnewsletter 100 | février 2022

Le contenu, et par extension, la stratégie éditoriale, est une matière vivante qui doit être observée régulièrement (un cycle annuel est une bonne périodicité) pour garder toute son efficacité.
Il évolue dans un environnement instable, où l’innovation et les comportements changent rapidement. Ce qui est bon à moment, ne l’est pas forcément 6 mois plus tard.
D’où l’obligation de se poser et d’observer pour corriger.

EST-IL TOUJOURS D’ACTUALITÉ ?

Le principal risque encouru est que le contenu soit devenu obsolète (fond) ou ait perdu toute proximité avec les modes d’expression du moment(forme).
Il faut vérifier que les règles qui ont servi à le produire n’ont pas à être revues.

EST-IL TOUJOURS VISIBLE ?

La moindre des choses est que le contenu soit vu. Vérifier l’application et la performance de la stratégie de référencement et de visibilité est la base de toute action.
Quelle efficacité des mots clés ? Le netlinking produit-il les effets escomptés ? L’architecture technique est-elle optimisée ? L’intégration obéit-elle aux règles édictées ?
Autant de questions à se poser.

EST-IL TOUJOURS CONTRIBUTIF ?

Qu’en est-il de la contribution du contenu à la performance globale. L’analyse des indicateurs endogènes (taux d’abandon, temps de lecture, etc.) et exogènes (audience, réutilisation, abonnements, etc.) permet d’ajuster l’action au quotidien.
En comparant les résultats des différents supports utilisés (site, réseaux sociaux, physique), de la périodicité de publication, de la forme (texte, son, vidéo) et du traitement rédactionnel (court vs long, disparité des codes conversationnels, etc.) on aura l’opportunité de réorienter la politique rédactionnelle.